Mozilla vote Microsoft... / Et embarque du gendarme / Mainframe : moderniser sans se ruiner….
Liberté sur le Net : Mozilla vote Bing plutôt que Google (Standblog).
Liberté sur le Net : Mozilla vote Bing plutôt que Google (Standblog).
C'est ce qu'on appelle un retournement spectaculaire. Hier vu comme le "grand satan" par Mozilla, Microsoft est désormais préféré à... Google. "Bing respecte mieux votre vie privée que Google", explique Asa Dotzler, de la fondation Mozilla, qui détaille comment faire de Microsoft Bing le moteur par défaut de Firefox. Sur son Standblog, Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, revient sur les raisons de ce revirement. En cause : un récent dérapage verbal d'Eric Schmidt, le patron de Google, qui a déclaré à CNBC (voir vidéo ci-dessous) : "si vous souhaitez que personne ne soit au courant de certaines choses que vous faites, peut-être que vous ne devriez tout simplement pas les faire". Rappelons que le lancement de Chrome, le navigateur de la firme de Mountain View, avait déjà distendu les liens avec la fondation éditrice de Firefox.
Mozilla ou la tactique du gendarme (Reuters)
L'agence Reuters revient sur l'histoire de la sortie du dernier client mail de Mozilla, Thunderbird 3. Un logiciel Open Source qui doit certaines de ses fonctions aux contributions de notre Gendarmerie nationale, qui a développé pour ses besoins une extension pour le client de messagerie (TrustedBird) reversée à la communauté.
Modernisation mainframe : à vot' bon cœur M'sieurs les prestataires (SearchCIO)
Nos confrères racontent l'histoire du DSI de Owens & Minor (un distributeur dans le domaine de la santé aux Etats-Unis, 7,2 Md$ de CA) confronté à un dilemme que connaissent bien nombre de ses homologues en grands comptes : comment moderniser une application mainframe sans casser sa tirelire ? Rick Mears a trouvé une voie qui, si elle comporte quelques inconvénients, répond tout de même aux impératifs budgétaires du moment. Owens & Minor a fait peser la charge de la migration de ses 10 millions de lignes Cobol vers un environnement Windows (et une solution MicroFocus) sur son prestataire, Perot Systems (racheté par Dell cette année). En échange, ce dernier a obtenu un allongement de son contrat. L'article fourmille de détails.
CMIS : un standard indispensable dans les appels d'offre (Intelligent Enterprise)
Pour Alan Pelz-Sharpe, intégrer CMIS (Content Management Interoperability Standard), le nouveau standard de la gestion de contenus, à ses RFP (request for proposals) apporte aux DSI plusieurs bénéfices. Il résume ses arguments en trois points : CMIS fournit une voie de migration depuis les référentiels propriétaires, il évite de se retrouver pieds et poings liés à un fournisseur donné et, enfin, il place les DSI en position de force dans la négociation avec les éditeurs.
Externalisation applicative : un vade-mecum pour DSI (SearchCIO)
Cadeau de Noël pour DSI sous pression budgétaire ? Nos confrères de SearchCIO livre une synthèse de leurs récents articles sur l'externalisation des développements, de l'applicatif (via le Saas) ou de la maintenance. Tendances sur ces marchés, facteurs de décision, gestion des risques, relations avec les prestataires, etc.
Cinq technologies pour revitaliser l'IT du gouvernement US (Infoworld)
Selon le cabinet Input, si le gouvernement US s'est lancé dans de vastes investissements IT, seules quelques technologies ou modèles tireront parti de cette politique. Aux premiers rangs desquelles figurent le cloud computing, la virtualisation et l'Open Source, qui promettent tous trois une réduction des coûts de fonctionnement. Input cite également la SOA et les technologies de géolocalisation.
Open Source, le fuel des start-up (Blog The Open Road)
En partant d'un papier du Monde sur les stars du Web tombés en désuétude (JoostTV, Second Life, AOL), Matt Asay se penche sur le mécanisme de création des start-up. Et pointe l'abaissement des barrières à l'entrée - sur le plan technologique - du fait de la disponibilité de nombreux composants Open Source permettant aux entrepreneurs de rapidement donner vie à leurs idées. Quitte à constater leur échec dans la foulée.