Spyware: RIM minimise la menace

Dans un courriel adressé à la rédaction, RIM, par la voie de son porte-parole français, a jugé nécessaire de réagir à notre article dans lequel nous relayions, aujourd'hui, les travaux de l'éditeur Veracode.

Dans un courriel adressé à la rédaction, RIM, par la voie de son porte-parole français, a jugé nécessaire de réagir à notre article dans lequel nous relayions, aujourd'hui, les travaux de l'éditeur Veracode

En particulier, le constructeur des terminaux Blackberry, et éditeur du service éponyme, tient à assurer que "les applications contenant des logiciels espions ne peuvent être installées sur un smartphone Blackberry sans l'accord explicite de son utilisateur à moins, bien sûr, qu'un tiers ne puisse accéder physiquement au terminal tout en connaissant le mot de passe associé." [Un risque que nous avons déjà eu l'occasion d'évoquer, pour l'iPhone en particulier, NDLR] Pour RIM, il semble particulièrement important "de comprendre le contexte dans lequel le risque de ce logiciel espion a été décrit [par les chercheurs de Veracode, NDLR]" et que "le logiciel espion ne peut pas simplement s'installer à l'insu du propriétaire du terminal. Qui plus est, l'utilisateur peut consulter et valider la liste des applications installées sur ton smartphone via la zone Options, à tout moment."

Bref, comme le rappelle et le souligne implicitement RIM, Veracode a produit un prototype de logiciel espion pour Blackberry, pas un ver.

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