IBM simplifie son contrat pour le Cloud

Dans une volonté de simplification, IBM a créé un contrat standard de deux pages pour les clients de ses services Cloud.

Dans une volonté de simplification, IBM a créé un contrat standard de deux pages pour les clients de ses services Cloud afin de remplacer les très longs et compliqués documents contractualisants en place jusqu’alors. Essayant ainsi de tenir la promesse du "plug and play" du Cloud, pourtant ternie par des contrats souvent trop complexes.

Selon IBM, les contrats liés au Cloud reposent généralement sur un format long de 10 pages. Pour le vice-président, et avocat général adjoint chez IBM, ces contrats Cloud étaient quelque peu ironiques. Alors que le Cloud représente la rapidité et est synonyme d’approche innovante, les contrats, longs et compliqués chez les fournisseurs de services, sont encore un obstacle. « En simplifiant et en accélérant radicalement la façon dont les clients signent leurs contrats pour des services Cloud, IBM permet aux entreprises d’accéder plus rapidement aux gains du Cloud », précise-t-il.

Depuis 2007, IBM a investi plus de 7 milliards de dollars à travers 17 acquisitions pour renforcer son portefeuille d’offres Cloud. Le groupe traite aujourd’hui plus de 5,5 millions de transaction clients par jour via son Cloud public.

En 2013, le Cloud a rapporté 4,4 milliards de dollars à IBM, une activité en progression de 69% en un an. Le groupe a aussi étendu la portée de son offre en ajoutant 12 sites à son réseau de centres de données. Les derniers sites ouverts par IBM sont Francfort, Mexico et Tokyo. Neuf autres présences ont été ajoutées au réseau IBM à travers un partenariat avec Equinix, en Australie, en France, au Japon, à Singapour, aux Pays-Bas et aux Etats-Unis.

En France, IBM a confirmé l’ouverture d’un datacenter à Paris qui mettra à disposition des entreprises hexagonales une infrastructure SoftLayer.

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