Crédit Suisse adopte Caché d’Intersystems pour ses opérations de trading

Crédit Suisse a choisi InterSystems pour revoir en profondeur sa plate-forme d’opérations en bourse (trading) en adoptant la base de données Caché de l’éditeur.

Crédit Suisse a choisi InterSystems pour revoir en profondeur sa plate-forme d’opérations en bourse (trading) en adoptant la base de données Caché de l’éditeur. Conçue au milieu des années 90, la plateforme de trading de l'établissement montrait des faiblesses et une certaine instabilité, en étant confrontée à une forte augmentation du volume d'échanges. Au cours de la dernière décennie, le volume d'échanges traité par la banque a explosé, en raison de la volatilité des marchés, des nouvelles pratiques et d'une augmentation de sa clientèle.

Pour améliorer les performances de son système d'échanges, la première étape entreprise par la banque a été de repenser l'architecture de routage des ordres. Dans un premier temps, l'application d'acheminement des ordres était basée sur un cache de données en mémoire développé en interne, avec un simple analyseur SQL pour interroger les données, ce qui obligeait à déployer un serveur dédié pour chaque installation. Pour résoudre ces problèmes, la banque a donc porté les caches d'images mémoire de l'application d'acheminement des ordres vers Caché qui peut fonctionner comme un cache en mémoire tout en offrant une persistance complète. À l'aide des associations C++ légères de Caché, la banque a pu multiplier les performances par cinq.

Dans un second temps Crédit Suisse a souhaité améliorer les performances de l'application globale de gestion des ordres, avec laquelle les courtiers génèrent les ordres traités par l'architecture globale d'acheminement des ordres. Des clients de gestion des ordres sont installés sur plus de 1 200 postes de travail dans le monde, qui conservent tous un cache local de données et qui communiquent avec un cache de données central sur des serveurs « de niveau intermédiaire ».

Testé dans un premier temps pour atteindre 250 millions de transactions par jour, l'architecture a bientôt absorbé en production plus de 500 millions de transactions par jour, soit une performance globale multipliée par 5 tout en divisant par deux le matériel nécessaire. 

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