ARM sur les serveurs en 2014 / Lamouche chez ST …

ARM : non aux PC, oui aux serveurs (Infoworld)Le portage de Windows sur ARM n’a pas désarçonné le Pdg du fondeur Warren East, qui dans un entretien avec nos confrères explique que le marché du PC, en dépit de l’arrivée de l’OS n°1 sur son architecture, n’est pas une cible.

ARM : non aux PC, oui aux serveurs (Infoworld)
Le portage de Windows sur ARM n’a pas désarçonné le Pdg du fondeur Warren East, qui dans un entretien avec nos confrères explique que le marché du PC, en dépit de l’arrivée de l’OS n°1 sur son architecture, n’est pas une cible. Un marché où il n’y a plus de place. En revanche, celui des serveurs est programmé : ce sera pour 2014.

Lamouche revient chez ST Micro (La Tribune)

Didier Lamouche prend la parole dans un entretien avec La Tribune, avant de prendre les rênes de ST Micro, le 26 janvier prochain, date à laquelle  les résultats du groupe seront publiés, scellant dans le marbre son arrivée chez le géant des semiconducteurs. L’ex-Pdg de Bull y rappelle la position du groupe dans le monde et sa puissance de feu en matière de R&D.

Les US aiment le logiciel (Lemonde.fr)
L’innovation américaine n’a qu’à bien se tenir, lisait-on dans le regard des créateurs de start-up, présents à l’inauguration du Camping le 7 janvier dernier, au Palais Brongniart. Si cette école à créateurs de jeunes pousses semble proposer une rampe de lancement pour l’innovation à la française, le chemin pour rattraper l’hégémonique Amérique semble long. Selon le dernier rapport de PricewaterhouseCoopers, “74 des 100 premiers éditeurs de la planète (en terme de chiffre d'affaires) sont originaires des Etats-Unis, et seulement 14 sont domiciliés en Europe”.

ERP gelés en 2011 (CIO)
Moins de dépenses dans les ERP en 2011, titrent nos confrères s’appuyant sur des chiffres Forrester. Et ce en dépit d’une progression des dépenses IT sur la période. Mais pas de soucis à de faire pour autant, 2011 sera juste une parenthèse. Les cycles de mise à jour reprendront et avec, la course des éditeurs vers le cloud.

Le retour de Google en Chine (Reuters)

Un an après le piratage de ses serveurs et son abandon des mécanismes de censure, Google coordonne ses opérations pour revenir en Chine et aller chercher un marché qu’il juge indispensable à sa croissance. Seulement le pays a un peu changé et son départ, même temporaire, a laissé le champs libre à la concurrence. S’il compte sur les PME chinoises pour investir dans ses Adwords - afin qu’elles puissent toucher l’autre monde - rien ne semble gagné pour Android.

Pour approfondir sur ARM

Close