Un contre e-G8 / Microsoft et le complexe Charlie Brown …

Un contre e-G8 (Numerama) Nos confrères, en revenant sur ce contre e-G8 organisé par la société civile en colère, rappellent combien ce forum de l’Internet mondial aura souffert d’une représentativité limitée de l’ensemble de l’éco-sytème d’Internet.

Un contre e-G8 (Numerama)

Nos confrères, en revenant sur ce contre e-G8 organisé par la société civile en colère, rappellent combien ce forum de l’Internet mondial aura souffert d’une représentativité limitée de l’ensemble de l’éco-sytème d’Internet. Un sommet organisé par et pour les industriels, clament d’ailleurs les plus virulentes critiques. Un écran de fumée pensent d’autres, laissant entendre ainsi que les débats et ce qui ressortira des conversations restera à coup sûr stérile, enfoui.

Microsoft et le complexe Charlie Brown (BusinessWeek)

C’est ce qu’on appelle mettre les pieds dans le plat. David Einhorn, président d’un fond d’investissement américain, estime que la meilleure chose que le board de Microsoft puisse faire, c’est bien de remplacer Steve Ballmer, qui souffre du syndrome de Charlie Brown - un loser né, rappelle-t-il. Surtout depuis que l’action du groupe vacille.

Oracle : un coup d’ERP dans l’eau (Networkworld)

Détour par les backstages de l’IT et des projets qui capotent. C’est aujourd’hui au tour d’Oracle de se voir poursuivi par une université américaine pour ne pas avoir réussi à déployer l’ERP tant convoité. Erreurs, mauvaises évaluations ont débouché sur une incapacité à implémenter les services critiques de l’institution. La douloureuse ? 20 millions de dollars qui n’étaient pas prévus.

Stéphane Richard : Apple et moi (All Things Digital)

Les relations entre Apple et le Pdg de France Télécom - Orange sont en dent de scie, nous rappellent nos confrères qui ont assisté à une conférence américaine au cours de laquelle Stéphane Richard intervenait. Il y aborde certes ses relations avec Apple mais également sa vision d’Android, des tablettes, et indique surtout que des nouvelles tarifications sont à attendre au regard des coûts sans cesse grandissants en matière d’infrastructure. Hausse du trafic aidant.

SAP : des actionnaires sceptiques (Bloomberg)

28 milliards de dollars en 2015 ? Mais comment compte-t-il bien y arriver, s’interrogent les actionnaires de SAP, qui n’ont pas été impressionnés par la stratégie de l’éditeur allemand. Et donc de réclamer des preuves… dont ils ne verront la trace que dans deux ou trois ans, rappelle l’article. Bref, SAP doit clarifier et préciser ses intentions quant à Hana, la mobilité, byDesign…

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