L’Essec virtualise ses postes de travail avec VMware
Confronté à un parc de PC toujours plus hétérogène et pour faire face à la consumérisation du IT (BYOD - Bring Your Own Devide), l’Essec Business School a décidé de moderniser son infrastructure de postes de travail en optant pour les technologies de virtualisation de postes de travail de VMware.
Confronté à un parc de PC toujours plus hétérogène et pour faire face à la consumérisation du IT (BYOD - Bring Your Own Devide), l’Essec Business School a décidé de moderniser son infrastructure de postes de travail en optant pour les technologies de virtualisation de postes de travail de VMware.
Pour répondre aux besoins des 4 500 élèves, 141 professeurs et 523 administratifs, l’Essec disposait jusqu’alors sur un parc de PC de 1 200 postes hétérogènes, géré essentiellement à partir d’images. «Une gestion complexe, coûteuse et chronophage», souligne Franck Polycarpe, responsable infrastructures et chef de projet virtualisation à l’Essec. Ce parc est d’autant plus composé de postes destinés aux professeurs, aux personnels administratifs et de points d’accès en libre-service.
La Business School décide alors de poursuivre son partenariat avec VMware, avec qui elle avait mené un premier chantier autour de la virtualisation de serveurs., Après une premier essai concluant réalisé sur 20 postes de travail, l’Essec virtualise, avec l’aide Antemeta (un partenaire VMware), 350 postes de travail sur son campus de Cergy-Pontoise.
« Les postes de travail disposent des mêmes logiciels, mais ne sont pas persistants : la machine est provisionnée et disponible en permanence, mais ne s’active que lorsqu’un utilisateur se connecte », explique Franck Polycarpe, qui ajoute avoir complété son infrastructure de VMware ThinApp «pour résoudre les conflits inter-applicatifs». L’élève peut également accéder aux logiciels présents dans les salles de cours depuis son propre terminal, en se connectant sur le portail de l’Essec.
Outre la multiplication des points d’accès, la Business School cite l’allégement de la maintenance du parc et la simplification de la gestion des postes de travail. «A terme, nous projetons de virtualiser l’ensemble de nos postes bureautiques – libre-service, salles de cours et postes administratifs », conclut Franck Polycarpe.