L’avocat de Google / le gros nuage d’IBM / L’école de Mundie …

Google doit avoir le bénéfice du doute (Silicon Valley)Un petit peu de baume au cœur de Google en proie depuis quelques semaines à l’agressivité du secteur.

Google doit avoir le bénéfice du doute (Silicon Valley)
Un petit peu de baume au cœur de Google en proie depuis quelques semaines à l’agressivité du secteur. Pris entre ceux qui le soupçonne de velléités hégémoniques et ceux, plus sarcastiques, qui moquent ses tendances messianiques le géant de la recherche fête un drôle d’anniversaire… mais trouve dans cette tribune publiée par Siliconvalley un peu de réconfort : « privacy and bigness are not enemies ».

Big Blue fait grossir son nuage (Infoworld)
Jusqu’ici très concentré sur la mise à disposition de ses propres services et applicatifs en mode SaaS via l’informatique en nuage, Big Blue se lance aujourd’hui dans le support pour éditeurs et partenaires tiers. IBM proposera cinq outils et surtout le support de ses spécialistes, répartis sur les divers centres de R&D dédiés au cloud computing qui ont essaimé depuis quelques moins.

Microsoft, il faut commencer tôt (Internet News)
L’informatique dès le plus jeune âge. C’est le credo de Craig Mundie, stratége en chef de Microsoft depuis la retraite de Bill Gates. Dans un discours prononcé devant des membres du congrès des Etats-Unis, il a milité pour un usage beaucoup plus répandu des technologies de l’information sur les pupitres des écoliers américains.

Beaucoup de bruit pour rien ? (Infoworld)

Selon Microsoft, faire témoigner Steve Ballmer, PDG de l'entreprise, dans l'affaire qui oppose l'éditeur à des consommateurs s'estimant floués par le logo "Vista Capable", ne servirait qu'à... attirer l'attention sur des sujets qui sortent du champ très étroit du procès. A moins que le procès lui-même ne soit hors sujet ?

Peut-on se fier aux marchés ? (L'Express)

Selon Jean-Louis Mourier, économiste chez Aurel Leven, le dévissage sévère des bourses mondiales ce lundi 6 septembre s'explique par un pari généralisé des acteurs des marchés sur une récession durable. Des appréciations éclairées ou un effet mouton de Panurge parfait pour effectivement précipiter les marchés dans la tourmente ? Et pendant ce temps, le Medef cherche à mettre un terme aux parachutes dorés.

Steve Jobs est-il si important ? (Computerworld)

Alors que la rumeur d'une intervention médicale sur la personne de Steve Jobs, le patron d'Apple, a fait dévisser l'action du constructeur vendredi 3 septembre dernier, Ezra Gottheil, analyste de Technology Business Research brise le tabou : non, Steve jobs n'est pas indispensable. Chez Apple, du moins.

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