Google peut s’offrir de l’électricité à bon prix

Google vient de recevoir l’autorisation du gouvernement américain d’acheter et de revendre de l’électricité. Si l’on imagine difficilement Google devenir courtier en électricité à court terme, on peut clairement considérer qu’il vient de recevoir là la bénédiction du régulateur américain pour obtenir de l’électricité à des prix encore plus avantageux que ceux qu’il négociait jusqu’ici avec ses fournisseurs.

Google vient de recevoir l’autorisation du gouvernement américain d’acheter et de revendre de l’électricité. Si l’on imagine difficilement Google devenir courtier en électricité à court terme, on peut clairement considérer qu’il vient de recevoir là la bénédiction du régulateur américain pour obtenir de l’électricité à des prix encore plus avantageux que ceux qu’il négociait jusqu’ici avec ses fournisseurs. Et peut-être même un jour leur en revendre ou, à tout le moins, trouver, à travers des mécanismes judicieux d’achat/revente, un moyen d’améliorer sa rentabilité...

Si l’on ne connaît la facture électrique de Google, on sait en revanche, par exemple, que les recettes publicitaires de son service YouTube ne parviennent pas à contre-balancer les coûts de sa pantagruélique infrastructure de diffusion de vidéo en ligne. Pour 2009, Crédit Suisse estimait la perte engendrée à 470 M$.

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